Philippe Matheis, élève en 2A, en double diplôme (Karlsruhe)
Philippe recherchait une école de référence dans son domaine de prédilection, le génie industriel. Il a trouvé en GI l'école pour parfaire son français et ses connaissances. Et puis, Grenoble l'attirait pour son côté petite "Silicone Valley", son offre culturelle et sportive, ses massifs enneigés (pour s'aérer) et ses innombrables activités extra universitaires que consomment sans modération quelque 55 000 étudiants présents à Grenoble.
Aussitôt arrivée, il arpentait déjà la Bastille à la recherche d'une vue sur le Mont Blanc et sur les 8 km de l'avenue Libération/Jean Jaurès, la plus longue d'Europe. En 4 jours, depuis son arrivée, il aura « pris » la Bastille, entamé une étude de terrain chez Thomson dans laquelle il observe et tente d'optimiser les processus et assisté à deux cours à GI. Il était temps pour lui de retourner dans son université d'origine pour quelques examens avant de reprendre ce train d'enfer parmi ses nouveaux camarades de GI, qui l'ont accueilli avec beaucoup de sympathie aime-t-il rappeler. Son intégration fut parfaite. Elle aurait même dépassé ses espérances. « On s'occupe de nous, on nous écoute, nous renseigne et toutes nos questions trouvent une réponse » souligne Philippe qui rend (déjà) hommage au président du BI de GI ainsi qu'au service Relations Internationales de l'école. A Karlsruhe, les relations avec l'administration seraient plus informelles, moins personnalisées.